Chelsea ne vit pas sa meilleure période en ce début de saison et l’une de ses plus importantes armes, Edouard Mendy n’est pas en confiance actuellement. Thomas Tuchel s’est d’ailleurs exprimé sur les récentes sorties de son portier sénégalais.
Thomas Tuchel est plus que jamais dans la difficulté en ce début de saison. Après une nouvelle sortie limite de son équipe, le technicien allemand s’est exprimé sur la prestation de ses hommes et notamment de son gardien de but, Edouard Mendy. « S’il y a une situation où son action n’est pas parfaite, il se fait punir instantanément. Il est juste dans un mauvais moment et ce n’est pas forcément de sa faute. J’ai ce sentiment car il donne toujours tout, il est très calme et concentré. Nous allons continuer à le soutenir », a déclaré Tuchel.
Elou Mawa de son nom sur facebook est depuis quelques jours la cible des internautes sénégalais. Lesquels ont découvert son orientation sexuelle.
Selon les informations exclusives de Kawtef.com, ce transgenre en personne, comme s’est lui qu’il s’agit, est un vrai sénégalais, habitant de Kaolack. Son vrai nom, c’est El Hadji N’diaye. Il a quitté Kaolack pour s’installer à Mayotte, une île française de l’archipel des Comores, situé au milieu du canal de Mozambique, entre l’Afrique et Madagascar.
Depuis son séjour à cette île, ce compatriote a préféré de changer le sex3 et adopte l’apparence et le mode de vie d’un sexe différent de celui de sa naissance. Il est devenu, une vraie femme avec des seins, des hanches, des looks réservés aux gentes féminines
Le Sénégal qui gagne. C’est dans l’ère du temps. Car depuis le sacre des lions de la Teranga en terre camerounaise avec à la clé une coupe d’Afrique des Nations de football aptes plusieurs années, les autres sélections suivent les pas des protégés du sélectionneur national Aliou Cissé. A la fenêtre FIBA de Tunis, les partenaires de Gorgui Sy Dieng ont fait carton plein en gagnant les trois matchs.
Hier, le Sénégal s’est imposé aux tirs au but face à la Guinée et s’est qualifié pour le Championnat d’Afrique des Nations, Algérie 2022. Les lions seront au rendez-vous pour la première fois depuis 2011. Avec cette victoire, ils ont aussi réussi à vaincre le signe indien face aux voisins guinéens. Même dans les championnats européens, nos valeureux lions se distinguent dans le travail, récoltant au passage des lauriers tissés par les journalistes dans les plateaux de télévision.
Tout ça pour dire que l’esprit de la gagne s’est définitivement installé dans la tête de nos vaillants sportifs.
De l’autre côté, l’Etat a été avant tout celui qui a tout déclenché avec une politique de mise en place d’infrastructures de dernière génération comme Dakar Arena, le stade Me Abdoulaye Wade et le stadium d’athlétisme à Diamniadio. A ceux-là s’ajoutent les bonnes conditions de performance pour permettre aux lions de voyager ou de recevoir sans connaître des problèmes de prise en charge et de prime.
Reste maintenant aux dirigeants de se coller à la tâche car l’amateurisme doit être ranger aux oubliettes car l’importance de la victoire participe considérablement à la bonne image de notre pays.
Au football, les protégés de Aliou Cissé occupent la première place depuis plusieurs années du fait des bonnes performances des lions. Et pour conforter cette position, tout le monde doit s’accorder à l’esprit » Manko Uti Ndame li » qui signifie allons ensemble chercher la victoire.
Le sélectionneur Aliou Cissé s’exprime ce mois-ci dans les colonnes du numéro de Onze Mondial. L’occasion pour le sélectionneur du Sénégal de se prêter au jeu de l’instant tactique.
Sa vocation de coach
« Oui, c’était une vocation, quelque chose à quoi je pensais durant ma carrière de joueur. Automatiquement, avant même d’arrêter – parce que je pouvais continuer, physiquement, j’avais encore la force de jouer deux ans – j’ai décidé d’arrêter ma carrière pour passer mes diplômes d’entraîneur. Il y a beaucoup de choses que j’absorbais sans comprendre les raisons quand je jouais, là, j’avais besoin de savoir quelles étaient ces raisons. Quand tu es footballeur, tu n’as pas la même approche que quand tu es entraîneur. Quand tu es entraîneur, tu dois connaître les raisons du « comment » et du « pourquoi ». On gagne, il y a des raisons à cela, on perd, il y a des raisons aussi. La différence, c’est que lorsque tu es footballeur, tu n’es centré que sur toi-même, tu ne penses pas à autre chose qu’à tes performances individuelles. Alors que moi, l’entraînement est une chose, mais après l’entraînement, c’est là que tout mon travail commence. Tu dois te soucier de 23 joueurs, un staff technique, un staff médical, les journalistes, les conférences de presse, tout ça fait que vous ne pouvez pas avoir la même mentalité et la même approche en tant que joueur. C’est véritablement un autre niveau. »
Le fait d’être un modèle
« Je ne sais pas si aujourd’hui je suis un exemple. Oui, on a gagné la CAN, mais en 2019, quand on a perdu, peut-être que personne ne voulait s’inspirer de ce que nous faisions donc nous restons humbles. Gagner ne veut pas dire qu’on est le meilleur entraîneur au monde. Gagner, c’est bien, mais nous continuons à progresser parce que nous sommes aussi de jeunes entraîneurs. Ce n’est pas parce que l’on a gagné que l’on se prend pour ce que nous ne sommes pas. On a cette humilité et c’est ce qui fera qu’à un moment donné, on avancera. Maintenant, bien sûr que nous sommes là pour ce continent. Quand ce continent a besoin de nous, nous sommes là pour donner notre savoir-faire, ce que nous pensons du football africain et du style africain comme cela peut exister pour le style espagnol, portugais, allemand, français. Je pense qu’aujourd’hui, à travers moi, à travers Florent Ibenge, à travers Djamel Belmadi, il y a quelque chose qui est en train de se passer au niveau des entraîneurs sur le continent africain. Notre rêve, c’est que l’expertise africaine soit valorisée aussi, que les gens comprennent qu’en Afrique, il y a de très bons entraîneurs et que nous sommes capables d’avoir une réciprocité, un respect mutuel, et de savoir qu’un entraîneur occidental peut venir entraîner en Afrique parce qu’il a la compétence, mais aussi qu’un entraîneur africain qui a gagné, qui a fait de très bonnes choses en Afrique est capable d’exister sur les championnats français, espagnol, anglais et allemand. Il y a combien d’entraîneurs africains en Europe ? (Silence) Voilà. C’est le débat. C’est là où il faut qu’on aille. En France, il y a combien d’entraîneurs issus des minorités ? En Angleterre, il y en a combien ? Au Portugal ? En Allemagne ? Quel est le problème ? C’est aux décideurs de nous dire. »
Ses inspirations
« Les entraîneurs que j’ai eus quand j’étais jeune. J’ai eu de très, très bons formateurs, de très, très bons entraîneurs. Très vite, j’ai eu la chance de m’entraîner avec Jean Fernandez à Lille qui m’a amené avec l’équipe première alors que j’avais 16, 17 ans. J’ai appris la rigueur du football professionnel, j’ai appris à être prêt physiquement, à être « esclave » de ce métier-là. La rigueur, la compréhension du jeu, avec Jean Fernandez, j’ai appris beaucoup de choses. Hervé Gauthier a été aussi quelqu’un de très inspirant dans ma formation, Bruno Metsu, Philippe Bergeroo, Luis Fernandez… En Angleterre j’ai rencontré des entraîneurs comme Harry Redknapp, Steve Bruce et avec chaque coach, j’ai pu apprendre, car chacun avait un style de jeu, une identité de jeu et une vision du football différents. En France, les entraîneurs ont une vision différente, il faut prendre ce qui est bon chez les Anglais dans leur mentalité de gagneurs, dans leur fighting-spirit, dans l’agressivité qu’ils mettent, mais aussi cette qualité organisationnelle à la française. Avec tout ça, on arrive à avoir un background assez intéressant donc c’est l’occasion pour moi de remercier tous ces entraîneurs avec qui j’ai appris car c’est grâce à eux que je suis là où je suis aujourd’hui. Ces dernières années, les entraîneurs allemands m’ont impressionné. »
Découverte macabre dans la brousse à la sortie de la ville de Kolda sur la route de Fafacourou. Le corps sans vie d’une femme a été découvert non loin de la route par des passants.
La victime est une dame qui vivait en France depuis plus de dix ans, et qui revenait dans son village natal Saré Demba Touré, département de Médina Yoro Foulah, région de Kolda. Aminata Touré plus connue sous le nom de Méta comme c’est d’elle qu’il s’agit, a fait escale à Mbour avant de quitter hier vendredi pour regagner son village. Dans un récit glaçant, sa grande sœur Mariama Touré affirme avoir discuté au téléphone avec la victime qui dit prendre départ sur Kolda. « C’est à 06 h du matin de ce samedi, que j’ai reçu un appel me signifiant qu’une femme est tuée dans la brousse mais qu’elle ressemble à ma petite sœur. Ainsi, je me suis rendue sur les lieux en compagnie de la gendarmerie pour constater un corps sans vie avec du sang qui sortait de partout », a raconté Mariama Touré dans une voix tremblotante de tristesse. Alertés, les sapeurs-pompiers ont évacué le corps pour le déposer à la morgue de l’hôpital régional de kolda.
A en croire Mariama Touré, la victime âgée d’une quarantaine d’années devrait repartir en France dans deux semaines. « Elle venait pour s’occuper de la scolarité de sa fille unique qui vit ici avec moi » confie Mariama Touré qui dit même ignorer la personne qui l’a appelée pour lui donner cette triste nouvelle, au moment où elle sa nièce s’impatientaient d’accueillir Méta Touré qu’elles ne verront plus jamais. Les faits se sont déroulés dans la nuit du vendredi au samedi. Une enquête est ouverte par les hommes en bleu pour déterminer les auteurs de cet meurtre.
Après la visite médicale ratée jeudi soir, Nice est revenu sur l’accord obtenu avec l’OM pour Bamba Dieng, autour d’une base fixe de 9 M€ et 3M€ de bonus, vite atteignables.
Les dirigeants niçois ont demandé de nouveaux examens médicaux et proposé une nouvelle architecture, avec plusieurs formules (prêt avec option d’achat ; transfert avec une base fixe plus faible mais de nombreux bonus).
L’OM a refusé ce type d’aménagements. Les représentants de Dieng ont alors tenté une conciliation entre Nice et l’OM, allant même jusqu’à faire des efforts sur le contrat de Dieng.
En vain. Dieng peut-il partir dans un marché toujours actif ou être le joker d’un autre club de L1 que Nice ?
Même si Pablo Longoria a laissé ces portes ouvertes, cela semble peu probable. Même si le marché des transferts est encore ouvert comme en Turquie (fermeture le 8 septembre).
Longoria a également a indiqué qu’il n’y avait plus de négociation avec Nice en dépit d’un accord trouvé jeudi.
Un grand soupir de soulagement pour les utilisateurs de l’application de transfert d’argent « Orange money ». En effet, la section d’investigation de Thiès a interpellé vendredi un individu pour « escroquerie, vol, usurpation d’identité » en rapport avec des transactions « orange money » pouvant aller jusqu’à environ 85 millions de francs CFA faisant diverses victimes.
Selon la Gendarmerie nationale qui publie l’information, le faussaire a retrouvé 67 pièces d’identité sénégalaises. Selon la source, ces cartes servaient à acheter des puces téléphoniques afin de détourner des recharges orange money.
Des négociations sont en cours à l’intérieur de Yewwi-Wallu pour l’installation des députés de la 14e législature le 12 septembre. Les membres de l’intercoalition d’opposition tentent de s’entendre sur la question, notamment, le candidat qui se présentera au poste de président de l’Assemblée nationale et le nombre de groupes parlementaires qui défendront leurs couleurs.
Si aucune décision n’a encore été officialisée pour le cintre, Yewwi et Wallu auraient déjà décidé, selon divers médias, de créer trois groupes parlementaires. D’autres opposants comme Thierno Bocoum et des membres de la société civile dénoncent une telle élection, soulignant qu’elle contribue à alourdir la facture que doit payer le contribuable sénégalais pour le fonctionnement de l’Assemblée nationale.
C’est qu’un groupe a un président et un vice-président, et ce ne sont pas des députés comme les autres du point de vue des avantages inhérents à leurs fonctions. Un président de groupe gagne le double du salaire d’un « simple adjoint », qui touche 1,3 million de francs CFA par mois. Il bénéficie de deux millions supplémentaires pour son « opération ». La source A précise qu’ »il est efficace » qu’elle lui soit donnée directement.
De plus, il a à sa disposition deux voitures, 1 000 litres de carburant, 150 000 francs CFA pour le téléphone et un assistant.
Un vice-président de groupe gagne 1,6 million par mois. Mais hormis les deux millions en espèces que touche le président, il bénéficie de tous les avantages dont bénéficie ce dernier.
Pour certains, c’est la course à ces avantages matériels qui expliquerait le choix de l’intercoalition Yewwi-Wallu de vouloir créer plusieurs groupes parlementaires.
C’est fini ! Le Sénégal est tombé dans l’encolure de la folie politique. Au pays des Pionniers et des illuminés fondateurs d’une Nation civilisée, le pouvoir qui rend fou et la quête du pouvoir rend fou. C’est du bout des doigts que l’on compte les porteurs de bonnes nouvelles. Tout le reste de la classe politique sénégalaise est un arsenal de has-been dont le regard du rétroviseur illustrerait des amas de forfaitures, de délits et d’infractions. Ceux qui sont au pouvoir comme ceux qui sont dans l’opposition ont tous à leurs actifs des ignominies. Mais la démagogie, la serviabilité et la perfidie, les couvent et les couvrent. Ceux qui se sont engagés les mains immaculées et l’âme pétrifiée de valeurs sont ceux- là même qui sont combattus parfois avec la complicité encagoulée d’hommes et de femmes de mains. Les alertes des Mystiques qui savent prévoir l’avenir et anticiper le futur ne sont pas écoutées. Ceux qui, marabouts, dit-on, devraient endosser le manteau de sentinelles sont, selon leurs calculs et les largesses de détenteurs de pouvoirs, des acolytes. Jamais le champ politique sénégalais n’a été aussi malpropre et encrassé. Des aspirants au pouvoir législatif injurient. Ceux qui veulent confirmer leurs forces d’hier insultent.
Abdication de l’éthique politique
La République du Sénégal est blessée. Le bien public est embrouillé à l’intérêt de parti faisant une double impunité d’un rapport mis sous les coudes et d’une forfaiture tue. La République au Sénégal n’est plus la somme du labeur des générations qui se sont succédé, ces générations, depuis les pionniers sont encore au cœur des Institutions, intimidant de leurs antiques voix et même insultant publiquement. Le mensonge n’est plus une bassesse. Le reniement n’est plus une abjection. Le nouveau mal sénégalais est la transformation, par les politiciennes et les politiciens, de la République en domaine de jouissance, de délices et d’enrichissement. Les jeunes s’en enragent. Les enfants se montrent dédaigneux. Dommage ! L’argument avancé d’un Président de la République né après les indépendances n’a aucun sens. L’Homme né après les Indépendances a confié les Institutions à des patriarches dont le seul secret est de dissimuler les cheveux blancs et de tenir physiquement, car ayant les moyens de se maintenir. Celui qui est dans le Macky est prêt à tout faire et à tout dire pour y rester. Ceux qui veulent l’effacement du Macky sont également prêts à tout dire et à tout faire. Faut-il les suivre ou les applaudir ? Ce serait apporter à caution à l’abdication de l’éthique politique.
La démocratie sénégalaise ridiculisée
Le Sénégal a toujours été loué pour sa démocratie. Il n’a jamais connu de dictature formelle même si chaque Chef de l’État a durant son magistère versé dans l’autoritarisme. Le Sénégal, grâce à des Forces d’Armées républicaines, loyales, scrupuleuses et bienséantes, n’a jamais connu de coup d’État militaire. Soit ! Mais avec la marche du temps, la boulimie de la classe politique, sa démocratie tant chantée à tue-tête offre une image hideuse : insultes, atteintes à la dignité humaine et à l’intégrité physique, calomnie, attaque incivile et malotrues contre les Institutions de la République et répliques inconvenantes et indélicates de ceux qui les incarnent. Dans les pays de la sous-région qui sont entrés dans la civilisation démocratique dans les années 90 avec les Conférences nationales, les antagonismes sont rythmés d’idées, de propositions et de contre-proposition sur fond de communication politique intelligente et respectueuse. Et le Sénégal qui se glorifiait d’être un grenier de valeurs démocratiques renvoie aux acteurs politiques de la sous-région et à l’intelligentsia l’image d’une comédie qui n’est animée que par des Tartuffes imparfaits.
Macky prophète ailleurs, « démon » au Sénégal
L’adage biblique est clair : « nul n’est prophète chez soi ». Macky Sall vit cette vérité. Le Président de la République jouit d’une impressionnante belle image en Afrique, en Europe et en Asie. Titulaire de Doctorus Honorius Causa, de hauts titres panafricains, Macky Sall est écouté et respecté aussi bien par ses paires africains qu’hexagonal. Ce respect s’explique par les actes diplomatiques majeurs qu’il pose et par un langage révolutionnaire de vérité qui indispose les conservateurs qui tiennent le pouvoir dans certains pays. Il a réussi à installer un Sénégalais, certes contesté, au Perchoir de Parlement de la CEDEAO comme d’autres compatriotes siègent dans d’autres Institutions internationales.
Mais au Sénégal, Macky Sall est diabolisé, attaqué et son nom trainé dans la boue jusqu’à le mètre parfois aux nerfs. Une seule raison l’explique : les femmes et les hommes de son régime, dans leur immense majorité, sont auteurs de forfaiture et de bassesses politiques. Peut-être lui-même.