Le Conseil Constitutionnel a un nouveau Président. Il s’agit de Mamadou Badio. Selon un communiqué de la Présidence de la République, « le Président de la république, Macky Sall, par décret N° 2022- 1573 du septembre 2022, a nommé Mamadou Badio Camara, Président du Conseil Constitutionnel. Le désormais ex premier président de la Cour suprême, Mamadou Badio Camara remplace à ce poste Pape Oumar Sakho. Le communiqué signé par le ministre général de la Présidence de la République, Oumar Samba, informe que Maitre Awa DIEYE, avocate à la cour est nommée membre du Conseil Constitutionnel par décret N° 2022- 1572 du septembre 2022.
Homme politique, Idrissa Seck a subi la même formation politique que le Président de la République, Macky Sall. Réclamant le statut de « chef de l’opposition », le leader de Rewmi était l’un des opposants les plus virulents qui n’hésitait jamais à tirer à boulets rouges sur le camp présidentiel. Mais l’eau a coulé sous le pont quand il surprend le monde en retournant sa veste pour rejoindre son promotionnaire politique, Macky Sall sans vraiment dévoiler les clauses de leur Pacte. Depuis cette situation, les Sénégalais le considèrent comme un traître qui a vendu son âme au »diable », car n’ayant pas honoré sa parole.
À moins que le président de la République ne change ou décide de changer au dernier moment, Idy devrait hériter de la Primature, selon nos informations. En tout cas, le président du Conseil économique, social et environnemental (Cese) n’est pas écarté des plans du président Macky Sall pour ce poste de chef du gouvernement, au nom de la concrétisation des «retrouvailles de la famille libérale», a affirmé Serigne Mansour Cisse,journaliste au moment où tous les regards sont braqués ailleurs. Même son cloche pour l’analyste politique, Albert Sy. Selon lui, nommer Idrissa Seck Premier ministre est une possibilité, puisque soutient-il, que c’est un ami du Président de la République, mais aussi un allié politique. « Personne ne connaît leur accord avant qu’il rejoigne la mouvance présidentielle. Politiquement, ce n’est pas surprenant. Si le choix porte sur lui, il faut savoir qu’il y a des raisons éminemment politiques. Le président est confronté à des problèmes de la gestion du parti politique, du gouvernement, du parlement, de l’opposition et des élections présidentielles de 2024», a-t-il fait savoir tout en ajoutant : « qu’il a le profit, car, il connaît la situation du pays et a eu à gérer plusieurs postes avant. » Cependant, il a reconnu que sa nomination ne sera pas comme une lettre à la poste au sein du parti de l’Alliance Pour la République (APR), de la coalition Benno Bokk Yakaar.
Idrissa Seck favori
Pourtant, il était complètement zappé sur la liste des « favoris » pour le poste de Premier ministre. Car, si l’on se fie à certains analystes politiques, » le prochain Premier ministre doit être en mesure de conduire non seulement le gouvernement, mais devrait avoir des aptitudes et capacités politiques pour compter de l’électorat. Il devrait être quelqu’un qui peut laver l’affront de ce régime qui est mouillé jusqu’au coup par des scandales », a souligné le professeur de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, Moulaye Ndiaye. Ainsi, l’annonce de sa nomination a soulevé ainsi un tollé au sein de la mouvance présidentielle. Selon certaines indiscrétions, une réunion a été tenue secrètement par ses pairs qui, si l’on se fie toujours aux informations glanées un peu partout, ont avancé que la majorité s’est dispersée.
Les Apéristes s’opposent
Sous l’anonymat, ce cadre, réputé très fidèle à Macky Sall, a estimé que certains membres de la coalition sont en train de préparer leurs valises. Concernant la véracité de cette information, un autre membre de la coalition de Benno Bokk Yakaar a soutenu que personne ne peut savoir à quel pied danser. » Tout est devenu flou au sein de la coalition et du parti Benno Bokk Yakaar ». On a l’impression que des politiciens professionnels sont capables de foutre en l’air tout le travail qui a été conçu depuis 2012 pour leur propre intérêt en phagocytant une bonne partie de la population pour un leader impopulaire et vomi par la population ». À vrai dire, certains politologues continuent toujours à crier sous les toits que la famille libérale n’est pas encore complètement disparue comme le pensent certains. Il a ainsi soutenu que le président de la République a déjà rassemblé une bonne partie de la famille libérale. «Il y a des ténors comme Serigne Mbacké Ndiaye, Pape Samba Mboup, Farba Senghor, et récemment Pape Diop qui sont avec Macky Sall sans oublier Idrissa Seck et sa famille. Donc, on peut dire qu’il les a assez rassemblés. Si le Pds venait, la famille libérale allait être réunie et rappelons-le, Abdoulaye Wade avait dit que la famille libérale aurait pu rester au pouvoir pendant 50 ans comme le PS l’été », a-t-il indiqué.
Les faiblesses de Idrissa Seck
Mais force est de constater que l’ancien Premier ministre ne pèse pas aussi lourd pour diriger un gouvernement en crise de l’électorat. Il faut se fier aux résultats des élections législatives. On se rend compte qu’en réalité il n’est pas capable d’affirmer son leadership dans son propre centre de vote face à la déferlante houleuse de la coalition Yewwi Askan Wi qui a ratissé large, malgré son expérience politique. Connu par sa communication qui a fait les choux gras de la Presse et ancien directeur de campagne du candidat Abdoulaye Wade à la Présidentielle en 1988. En 1995, il est nommé ministre du Commerce dans le gouvernement d’union nationale. Il retourne à son poste de Directeur de campagne du candidat Abdoulaye Wade pour un mandat de 7 ans en 2000. En 2002, il est promu Directeur du Président puis Premier ministre et ministre d’État. Avant cette humiliation politique, il est habitué aux échecs, de 2007, 2012 et 2019. Sa déception fut grande lorsque des huées fusent partout lors des élections législatives par ses anciens sympathisants. Pour Abdoulaye Ndiaye, un ancien rewmiste, il pense qu’Idrissa Seck a perdu sa force politique alors qu’il a perdu des personnes de conviction comme Thierno Bocoum, Déthié Fall, Abdourahmane Diouf qui étaient des caciques. Même avis, Ousmane Ndiaye de la coalition Yewwi Askan croit mordicus que le « mbouru ak Sow » ne sera pas en bon terme, puisque, soutient-il que les résultats des législatives ont révélé sa faiblesse. » Il faut faire une lecture réaliste dans ce compagnonnage. Macky Sall a pêché le gros poisson pour renforcer son électorat. Mais il faut reconnaître qu’il (Macky Sall) est déçu. Regardons sur les 82 députés de Benno Bokk Yakaar, même les partis proclamés morts comme le Parti socialiste (PS) et l’Alliance des forces de progrès (AFP) ont eu respectivement 5 et 2.
Poussant le bouchon plus loin, le Professeur Ibou Sané déclare que: «Avant les élections législatives, ça pouvait être possible, mais là, compte tenu du score très étriqué qu’il y a entre l’opposition et la coalition au pouvoir, il faut quelqu’un qui a la capacité d’écoute.» Mais son parti n’a rien », martèle-t-il. Aissatou Ndiaye, une ancienne élève de l’école politique de Rewmi, ne fait de langue de bois s’agissant à s’en prendre à Macky Sall. Pour cette militante de première heure, «C’est un fin politique, qui peut tout négocier pour arriver à ses fins, mais ce serait une grosse erreur de la part du président de vouloir nous l’imposer.»
Meilleur profil pour le Poste de Premier ministre
Selon l’analyste politique, «Il faut prendre quelqu’un qui soit un rassembleur, un réconciliateur, qui est à la fois à l’écoute des populations pour pouvoir prendre en compte la demande sociale», insiste l’enseignant-chercheur en Sociologie politique à l’université Gaston Berger (Ugb) de Saint-Louis, qui appelle Macky Sall à «éviter de nommer un Premier ministre bagarreur, va-t-en-guerre.» Selon lui, le « rewmiste » en chef « n’est pas d’attaque, il ne parle pas beaucoup, il ne parle presque pas et un Premier ministre doit parler, bouger pour régler les problèmes des Sénégalais ». Le Pr Sané rappelle, à cet effet, que même lors de la campagne électorale, Idrissa Seck n’a pas trop bougé. De son côté, Albert Sy.
Le Président de la République a reçu hier le khalife de la famille Niasse de Médina Baye. Cheikh Mahdi Ibrahim Niass est venu rendre compte de ses récentes missions en Arabie Saoudite et au Soudan. Une démarche de paix en droite ligne de la mission du Président Macky SALL à la tête de l’Union africaine.
Idrissa Gana Gueye a signé son retour à Everton, ce jeudi, pour les deux prochaines saisons. Le désormais ex-milieu de terrain du PSG a donné les raisons de son retour chez les Toffees, malgré des intérêts de clubs plus huppés comme Arsenal et Chelsea.
« Revenir ici était important pour moi parce que je me sens comme chez moi. J’ai suivi l’équipe chaque semaine et j’ai regardé comment ils jouent. Pour moi, il n’y a pas de meilleur endroit qu’Everton, c’est pourquoi j’ai choisi de revenir ici », confie Gana Gueye. « Il y a aussi une super ambiance au stade et tout le monde ici est comme une famille. Je me sentais très, très bien quand j’étais ici [la première fois] et même quand je suis allé à Paris, je suis resté en contact avec certains des joueurs ici et j’ai continué à soutenir l’équipe. Pour moi, c’est spécial. J’ai dit au PSG que si je partais, ce serait pour une équipe, et c’était Everton », ajoute-t-il.
« Ce n’était pas une décision difficile pour moi car j’aime ce club. C’est pourquoi j’ai dû rentrer à la maison. C’est un plaisir pour moi d’être de retour et j’espère que nous ferons une bonne saison car nous devons y aller et essayer d’atteindre nos objectifs », a-t-il déclaré sur le site du club anglais. Gana Gueye devrait disputer son premier match de la saison dès ce week-end contre Liverpool, à l’occasion du derby de la Mersey.
Le message d’adieu d’Idrissa Gueye parti à Everton
Idrissa Gueye a signé son retour à Everton lors de la fin du mercato estival. L’international sénégalais a paraphé un contrat jusqu’en 2024 avec les Toffees, avec une années en option. Après trois saisons au PSG, le milieu de terrain de 32 ans a disputé 111 matches pour un total de 7 buts et 6 passes décisives. Et via son compte Instagram, le désormais ex-joueur du PSG a tenu à remercier le club de la capitale via un message.
« Merci merci merci au Paris St Germain, pour ces 3 belles années remplies d’émotions… Merci de m’avoir permis de grandir en tant que joueur mais surtout en tant qu’homme. Merci à toutes ces personnes incroyables qui sont dans l’ombre mais qui font un travail remarquable au sein du club, vous saurez vous reconnaître à travers mon message. Merci aux supporters, aux ultras pour votre immense soutien tout au long de mon parcours. Merci à Nasser Al-Khelaïfi, Leonardo et Thomas Tuchel d’avoir rendu cela possible. Enfin merci à mes coéquipiers, tous ceux avec qui j’ai pu partager ces 3 dernières années, ce fut un immense plaisir de jouer avec vous… Paris est Magique et le restera », a-t-il écrit.
En voyage de préparation à Dubaï depuis des mois maintenant, Reug Reug s’apprête à remettre les gants, pour un autre combat en MMA. Le 29 Septembre 2022, en effet, l’Extraterrestre va affronter le Russe Batradz Gazzaev. Né le 13 novembre 1991, à Vladikavkaz, en Russie, ce lutteur de 31 ans a une taille de 1,84m.
Aussi, il n’a certes pas encore disputé beaucoup de combats. Mais ce Russe a déjà remporté tous ses trois duels, dont le dernier le 18 Décembre 2021, contre Rizvan Abdurakhmanov.
Après une 1ère victoire devant le Franco-marocain Sofiane Boukichou, une 2e sur le Camerounais Pierre Alain Ngalani et une 3e aux dépens du Suisse Patrick Schmid, Reug Reug avait raté sa 4e sortie, face au Biélorusse Kirill Grishenko.
Ce fils de Thiaroye aura donc à cœur de remporter ce combat pour préparer sa confrontation avec Sa Thiès de la meilleure des manières.
On en sait davantage sur les raisons qui ont poussé le maire de Guédiawaye à ne pas lâcher prise, quand certains leaders de ‘’Yewwi Askan Wi’’ veulent que Barthélemy Dias puisse être le seul candidat à la Présidence de l’Assemblée nationale.
Selon ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce vendredi, premièrement, lorsque l’investiture à la 14ème place de Maïmouna Bousso a été contestée par le Parti de Cheikh Tidiane Dièye, Khalifa Sall avait rétorqué que cette dernière est un leader et que Aminata Kanté n’en était pas un.
Deuxièmement, ajoute le journal, Ameth Aïdara ne comprend pas qu’en tant que seul membre de la Conférence des leaders signataire de la Charte de ‘’Yewwi Askan Wi’’ candidat officiellement déclaré à la Présidence de l’Assemblée nationale, on veuille le convaincre à renoncer à sa candidature.
Troisièmement, lorsque les 2/3 (deux tiers) des membres de la Conférence des leaders avaient été priés d’aller aux élections législatives sur les listes départementales et que seul le 1/3 des leaders devaient compétir au niveau national, tous avaient refusé, sauf le maire de Guédiawaye.
Quatrièmement, terminent nos confrères, il y a la jurisprudence Ousmane Sonko. Qui, lors d’une conférence de presse tenue le mardi 17 Mai 2022, avait publiquement remis Barthélemy Dias à sa place en lui précisant «qu’il n’est pas un leader et qu’il a à obtempérer aux décisions prises par les leaders de la coalition Yaw».
Jusqu’ici, il est le seul VIP à n’avoir pas contracté avec un promoteur pour lutter la saison prochaine. Mais les raisons sont à chercher ailleurs que dans ses performances.
En effet, de tous les VIP actuellement dans l’arène, Lac 2 a enregistré le plus petit nombre de défaites. Et quelles défaites ! Le Diato de Guédiawaye a d’abord été battu par Eumeu Sène d’une chute qu’il a lui-même contestée un moment. Ensuite, c’est Modou Lô, sur décision, qui lui a infligé sa 2e défaite.
À côté, Eumeu, Bombardier et Gris Bordeaux ont respectivement enregistré 8, 9 et 10 défaites. L’autre à deux défaites est Ama Baldé qui n’a qu’un pied dans la Cour des grands. C’est d’ailleurs son premier combat contre un VIP, face à Modou Lô.
Ce dernier vient juste après Lac 2 avec ses trois défaites. Il est suivi de Boy Niang avec 4 défaites. Derrière, arrivent Balla Gaye 2 et Tapha Tine qui ont enregistré chacun 5 défaites.
Il est v rai que le nombre de défaites n’est pas, en soi, un paramètre de performance car si deux lutteurs A et B ont le même nombre de défaites, est plus performant celui qui a le plus grand nombre de victoires.
Qu’à cela ne tienne ! Lac 2 n’est pas du niékhou niébé quoi qu’on puisse dire. Il faut se lever très tôt pour espérer le battre dans un combat.
Les démons de la violence refont en surface dans le basket. En effet, le stadium Joseph Gaye de Saint-Louis a été théâtre d’une véritable intifada entre supporters qui a finalement mis un terme à la rencontre entre l’équipe féminine de Saint-Louis Basket Club et celle de l’ASC Ville de Dakar comptant pour la demi-finale retour des Play Off féminin.
Battu au match aller par l’ASC Ville de Dakar (60-44), le SLBC voulait à tout prix remporter la manche retour et imposer la « belle » aux joueuses Dakaroises. Et ça commençait plutôt bien pour les Saint-Louisiennes, qui ont dominé les deux premiers quarts temps 11-10 et 23-22. Mais en seconde période, les jeunes joueuses de SLBC perdent complètement le contrôle du match en ratant des paniers faciles. Profitant de la maladresse de leurs adversaires, l’équipe de l’ASC Ville de Dakar va revenir dans la partie grâce à l’adresse de Couna Ndao et de Fatoumata Django. Mais ce beau duel entre les deux équipes sur le teraflex du stadium Joseph Gaye sera finalement gâché par la violence des supporters.
Tout a commencé avec les vuvuzelas interdits par la fédération sénégalaise de basket, mais utilisés dans le gradin par les supporters de l’ASC Ville de Dakar. A cela, les supporters de SLBC ont répondu par un concert de casseroles. Avec l’absence de service d’ordre (aucun policier, seulement quatre ASP), la violence est montée crescendo avec de jets de pierres, de sachets d’huile, de sachets d’eau et toute sorte d’objets. Les arbitres qui ont observé un battement de 45 minutes, ont finalement décidé d’arrêter le match alors que l’ASC Ville de Dakar menait au score (48-36).
En revisitant les dix ans du régime, Bougane Guèye Dany peint un tableau sombre pour le président Macky Sall. Dans ce nouveau numéro de ‘L’Entretien’, le leader du mouvement Guem Sa Bop balaie le bilan du pouvoir en estimant que les priorités n’ont pas été prises en compte. « Le Train Express Régional, le Ter, le stade Abdoulaye Wade et toutes les autres infrastructures, c’est bien, mais avant cela, le sénégalais a besoin de manger à sa faim, d’avoir un toit, de boire abondamment de l’eau potable. Bref, Macky Sall a échoué sur toute la ligne » considère le président du mouvement Guem Sa Bop.
En tirant le bilan des deux dernières élections, Bougane se réjouit d’une respiration démocratique qui donne désormais une option équilibrée à l’Assemblée nationale. Mais sans oublier de signaler ses attentes pour cette prochaine législature, Bougane Guèye Dany invite les acteurs politiques à une prise en compte des urgences du peuple.
Pour cette tribune, les perspectives politiques de Guem Sa Bop ont été déclinées par son leader notamment pour 2024. Selon Bougane, ‘Tekki Jotna’ (l’heure du développement) est enfin arrivée et celui qui l’impulsera au peuple, est simplement son mouvement. « Ce qu’il faut au peuple Sénégalais asphyxié par les politiciens, c’est de bénéficier de la générosité et de l’attention de quelqu’un qui a le parcours et non qui tient souvent des discours loin d’être matérialisé », confie le président de Guem Sa Bop.
Le feuilleton Bamba Dieng est loin de connaitre son épilogue. Tout ne serait pas perdu pour l’international Sénégalais qui n’a pu valider sa visite médicale avec Nice.
Selon The Atletic, le champion d’Afrique passera de nouveaux tests médicaux ce vendredi. LOGC Nice espère s’attacher les services de Dieng en tant que Joker.
Pour rappel, les règles du mercato français autorisent les clubs de Ligue 1 à réaliser une signature en dehors du mercato, appelée « Joker ».