On en sait un peu plus sur les munitions de guerre, d’une valeur de 3 milliards de Fcfa, saisies par la Douane au Port de Dakar.
D’après les premiers éléments de l’enquête consultés par Source A, le navire « Eolika » ne contenait que 3 conteneurs dont les papiers étaient falsifiés avec des munitions de guerre qui font à peu près 50 cm de long. Un arsenal de guerre dont seule une armée peut avoir besoin.
Le bateau, qui a quitté le port de Specia en Italie, a été chargé par un armateur grec. Le navire battant pavillon guyanais est parti de cette ville italienne le 2 décembre dernier pour Las Palmas.
Arrivé au Sénégal le 19 décembre, il devait repartir le 28 décembre en Guyane où il était attendu le 28 janvier. Le navire « Eolika » appartient à Fast Marine Corp, une mystérieuse entreprise basée à Achames, en Grèce.
Maguette Sene a profité d’un meeting pour répondre à Ousmane Sonko. Dans son message adressé au leader du Pastef, il l’invite à devenir un Homme d’État. Ainsi, Ousmane Sonko est peint comme un beau parleur, ignorant et incompétent, qui divulgue des secrets d’État.
« Ousmane Sonko n’est pas un homme d’État dans la mesure où les hommes d’État que nous avons connus de la trempe de Ousmane Tanor Dieng sont des personnes parties dans leur tombe avec des secrets de l’administration. Ousmane Tanor Dieng, tout ce qu’il savait sur le Sénégal, s’il l’avait dit, le pays serait sans dessus dessous », tance Maguette Sene.
Le maire de Malicounda ne mâche pas ses mots, il soutient : « Ousmane Sonko a été célèbre parce que tout simplement il a mis sur la place publique des secrets d’État. C’est inacceptable. Quelqu’un qui ne peut pas garder des secrets de l’administration, ne peut pas être un homme d’État. Il ne peut même pas se vanter d’avoir obtenu un certain rang à l’Ena. Les études à l’Ena ce n’est pas ce qui est important. C’est le comportement que la personne montre au moment d’exercer son métier, d’exercer dans l’administration qui est important. Et sur ce plan Ousmane Sonko n’est pas un modèle ».
Pour le président de l’association des administrateurs du Sénégal, les principes de l’administration c’est la « réserve ».
« Pour prétendre devenir un homme d’État, il faut savoir garder des secrets. L’administration est faite de confidentialité, de beaucoup d’éléments qui ne doivent pas être mis sur la place publique. Ousmane Sonko a été célèbre parce qu’il a violé le principe qui voudrait que les dossiers de l’administration qui sont estampillés confidentiels et secrets le restent. Il ne peut se vanter de quoi que ce soit. Ousmane sonko est célèbre par ses mensonges. Quand il vient à Mbour pour accuser le ministre d’État Mahmouth Saleh d’être quelqu’un qui vend des parcelles, c’est absolument faux. Il n’a qu’à montrer la plus petite preuve de ses allégations », invite Maguette Sene.
Ainsi pour le candidat de Bby à Malicounda, de par son comportement et de par ses allégations mensongères, Ousmane Sonko est susceptible de mettre en danger la stabilité du pays.
« Ousmane Sonko doit arrêter de diviser le Sénégal. Le corps des administrateurs civils, des inspecteurs des impôts, des inspecteurs des douane c’est des corps qui sont solidaires entre eux ça a été toujours comme ça. Ce n’est pas à Ousmane Sonko de casser ce lien sacré qui existe entre les corps. Il doit arrêter sa manière de faire de la politique. Sur le terrain politique, ce sont les arguments qu’il faut faire prévaloir et pas des mensonges. C’est regrettable tous ces mensonges qu’il est en train de raconter », estime Maguette Sene.
La cérémonie de rentrée des Cours et Tribunaux a été une occasion pour le Président Macky Sall d’aborder les problématiques majeures liées au foncier. Selon le Chef de l’Etat, le diagnostic du foncier au Sénégal montre clairement une situation caractérisée par la conjonction de plusieurs facteurs de complications notamment le « déficit en terre aménagé, la forte poussée démographique, une planification et une gestion encore insuffisante de l’espace, le non-respect des règles en matière d’urbanisme, le découpage administratif, parfois incohérent et le non-respect de certaines règles de procédures ».
Pour mieux étayer ses propos, Macky Sall a évoqué les litiges afférents à la fréquence de pratique délictueuse en matière foncière. « Cette situation engendre naturellement des conséquences fâcheuses dont l’impact négatif sur les stratégies de planification et gestion des villes », a dit le Président Sall.
Selon lui, « les difficultés énormes de réalisations de projets et autres travaux publics ce qui en renchérit considérablement les coûts ».
Concernant la construction de l’usine de dessalement de l’eau de mer et du Train express régional (Ter), le Président Macky Sall a soutenu avoir dépensé des milliards pour les emprises. « Nous avons été bloqués pendant plusieurs mois parce que simplement pour donner de l’eau à Dakar. Nous avons essayé de trouver une solution par le dessalement de l’eau de mer. Le site de Mamelles devait servir de lieux d’implantation de ces unités et comme par enchantement nous nous sommes retrouvés avec des titres fonciers issus de baux donnés et le propriétaire qui réclamait à l’Etat 10 milliards FCfa, que nous sommes tenus de payer », a-t-il souligné.
Poursuivant son propos, il a indiqué que pour le Ter l’Etat a dû dépenser plus de 92 milliards sur le paiement des impenses. « J’avais indiqué clairement au gouvernement que tout bail ou titre foncier sur l’espace qui serait postérieur au lancement des travaux de ce Ter ne serait pas l’objet d’indemnisation. Malgré cela, nous avons dépensé plus de 92 milliards Fcfa sur les impenses ».
Dossier Ressources naturelles: Le Mali enjeu minéral, la France s’embourbe
Il y a plus de quinze ans, j’avais exposé au philosophe Sémou Pathé Gueye ma thèse sur l’Afrique. Il m’avait encouragé à la présenter publiquement. Ainsi, lors du colloque PIT- Fondation Gabriel Péri, je fus invité à en parler : l’Afrique est l’enjeu du monde, celui qui contrôle l’Afrique, contrôle le Monde. Le Mali est victime de cet enjeu alors que sa classe politico-militaire est piégée dans des trappes d’ego posées par les puissances étrangères.
La charte de bonne gouvernance de la CEDEAO est dépassée. La CEDEAO ne peut pas, sur cette base, imposer des sanctions inhumaines au peuple malien pour un coup d’état effectué par un militaire. Alors que quand c’est un coup d’état effectué par un civil comme Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire, soutenu par des militaires, la CEDEAO ferme les yeux.
“Nous devons sauver le peuple frère malien victime de ses richesses minérales : le Sénégal ne doit pas appliquer les sanctions de la CEDEAO.“
MAMADOU LAMINE DIALLO IN #QUESTEKKI 286
Il faut un sursaut patriotique lucide de la classe politique. En 2011, lors d’un séminaire à Bamako sur la question du Nord organisé par le Parena, le chercheur français Burgeot avait lancé cette phrase: “il est temps d’organiser un espace économique viable pour l’Azawad”. On connaît la suite.
En 2011, la France avait parié sur IBK, l’imposant comme Président de la République, ce fut un échec. Churchill disait que quand on va vers l’enfer, il faut continuer.
En attendant, prions pour le repos de l’âme de IBK.
Dossier nouveau : Au Sénégal, l’homosexualité est aussi grave que le viol
Lors du vote de la loi pour la criminalisation du viol portée par l’Association des Juristes Sénégalaises, personne n’a dit que le Sénégal n’est pas un État islamique. Au contraire, la loi fut votée à l’unanimité.
Maintenant que le peuple demande la criminalisation de l’homosexualité, dans un élan unitaire bien dicté, de « bonnes consciences politiques », femmes et hommes, nous rappellent que le Sénégal est un État laïc, ce n’est pas un État islamique.
“Ceux qui prennent position contre la criminalisation de l’homosexualité au Sénégal, comme Pape Diop, aspirant à la Mairie de Dakar, ne sont pas libres. Ils ne méritent pas notre confiance. “
MAMADOU LAMINE DIALLO IN #QUESTEKKI 286
Le Ghana vient de voter la criminalisation de l’homosexualité par une proposition de loi, ce n’est pas un État islamique. Alors pourquoi avancer une telle ineptie après le chantage sur l’arrêt des flux financiers étrangers ? La panique? Cette affaire est avant tout une question culturelle et sociale, une question de valeurs ; c’est pourquoi, les confréries religieuses, les Imams, l’Eglise, le Bois sacré s’y retrouvent. Un Premier ministre de la République m’a confié qu’il en avait marre des homosexuels dans ce pays. C’est dire l’influence des pro-agenda Gay LGBT. Il est temps de bloquer cet agenda.Abdoulaye Diouf Sarr, patron des cadres de BBY, qui après avoir refusé de faire la lumière sur l’argent public de la Covid 19, mène une campagne de milliardaire à Dakar. Il est temps qu’il clarifie sa position personnelle sur la criminalisation de l’homosexualité, comme l’a fait le Khalife Général des Tidianes. J’attends qu’il signe la pétition de And Samm Jikko Yi sur la criminalisation de l’homosexualité.
L’écart d’une semaine entre le dernier match de poule et celui des huitièmes de finale des Lions du Sénégal leur permettra de bien travailler pour ‘’montrer un tout autre visage’’, a assuré le sélectionneur national du Sénégal, Aliou Cissé. ‘’Je retiendrai surtout la qualification. C’est vrai qu’on a récupéré tous nos joueurs, mais il nous faut un peu plus de temps. On voulait se qualifier et terminer premier de la poule, c’est fait. On a une semaine devant nous, ce qui nous permettra de bien travailler et d’essayer de montrer un tout autre visage, la prochaine fois’’, a promis Cissé. Il s’exprimait lors d’une conférence de presse, après la dernière journée de la poule B de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football, à Bafoussam. Le Sénégal, tenu en échec par le Malawi, a terminé premier de son groupe, devant la Guinée, qui a été battue par le Zimbawe, 1-2. ‘’Comme je l’ai dit depuis le début de la CAN, il nous faut de l’humilité. C’est très important. Il faut arrêter de penser que parce que nous sommes le Sénégal, parce que nous avons des joueurs qui jouent en Ligue des champions et dans les clubs les plus huppés du monde que, forcément, les autres ne travaillent pas’’, a commenté Cissé. ‘’Ces équipes peuvent nous tenir en échec en un seul match’’, a-t-il fait remarquer après la qualification des Lions du Sénégal aux huitièmes de finale de la 33e édition de la CAN, qui se joue du 9 janvier au 6 février, au Cameroun. L’équipe du Sénégal n’est pas la seule en difficulté, a-t-il ajouté, faisant savoir aux échecs de certains favoris de la CAN devant les petits Poucet de la compétition, la défaite du champion en titre, l’Algérie, face à la Guinée Equatoriale, 0-1, par exemple. ‘’Il y a des équipes qui nous observent et qui n’ont pas envie d’être ridicules devant nous. Nous sommes optimistes, nous allons continuer à travailler, à faire en sorte que nos joueurs qui étaient malades retrouvent leur meilleure forme’’, a assuré Aliou Cissé. ‘’On doit travailler l’aspect mental’’, a-t-il ajouté. L’ancien capitaine des Lions du Sénégal reconnaît que son équipe n’a pas encore assumé son statut de favori : même si elle s’est qualifiée aux huitièmes de finale et a réussi à conserver ses filets intacts, la sélection sénégalaise n’a marqué qu’un but en trois matchs. Cissé dit ne pas être inquiété par le manque d’efficacité de ses joueurs. ‘’Nous manquons un peu d’efficacité. Mais je ne suis pas inquiet, je suis conscient que nos garçons vont revenir à leur meilleur niveau (…) J’espère que, la semaine prochaine, on va mettre en place notre animation offensive’’, a poursuivi le sélectionneur national du Sénégal. Les Lions vont connaître leur prochain adversaire à la fin des phases de poule. Ils vont rencontrer, mardi prochain, la meilleure troisième équipe des poules A, C et D.
Une scène horrible suscite l’indignation à Diourbel où un présumé voleur a été battu à mort. Selon des informations exclusives de Seneweb, la tête de cet individu (non encore identifié) a été complètement écrasée, des suites d’un lynchage populaire. Les faits se sont déroulés à Dioufène, une localité située dans la commune de Diourbel. La victime aurait volé un cheval avant de subir la furie des habitants qui l’ont lynché à mort, d’après des confidences faites à Seneweb. Suite à ce drame, les éléments du commissariat central de Diourbel ont effectué le constat avant d’ouvrir une enquête. En effet, des gourdins ont été trouvés non loin du corps sans vie. D’après nos témoignages recueillis, certains habitants de cette localité ont tenté de faire croire aux policiers que le présumé voleur est tombé d’un arbre avant de trouver la mort. Malgré tout, les éléments du commissaire Mor Ngom ont entamé les auditions pour tirer cette affaire au clair. En attendant les résultats de l’autopsie.
Malgré une légère domination, le Sénégal n’a pas réussi à marquer face au Malawi ce mardi après-midi (0-0). Kalidou Koulibaly s’attend à plus lors des prochains matchs.
L’Equipe Nationale du Sénégal a mis fin à la phase de groupes de la CAN 2021 par un décevant score nul vierge. Après avoir démarré par une victoire à l’arraché face au Zimbabwe (1-0) puis un match nul (0-0) contre la Guinée, les Lions ont partager les points ce mardi après-midi avec une très bonne équipe du Malawi (0-0).
Sans inspiration, malgré une domination stérile, notamment en première période, les joueurs d’Aliou Cissé n’ont pas trouvé la faille et se quittent avec cette phase de poules avec un seul but marqué sur penalty. Néanmoins, ils sont qualifiés pour les huitièmes de finale de la CAN 2021 en tant premiers du Groupe B.
A l’issue de la rencontre face au Malawi, Kalidou Koulibaly s’est exprimé au micro de Canal+. « C’est dommage qu’on ait pas pu marquer ce but qui aurait pu nous mettre à l’abri. Mais on peut être contents parce qu’on termine premiers du groupe. On va continuer le travail », a indiqué le capitaine des Lions.