Actuellement gardien de Chelsea, Édouard Mendy a révélé le joueur qu’il considère comme étant le meilleur défenseur actuel en Afrique. Sans surprise, le portier sénégalais a choisi son compatriote en club et en sélection. Il s’agit de Kalidou Koulibaly, le capitaine des Lions.
« Le meilleur défenseur africain actuel ? J’essaye de trouver un autre que Kalidou [Koulibaly]…je regarde beaucoup le foot et honnêtement c’est Kalidou, je vois pas quelqu’un de meilleur que lui. Je pense que beaucoup seront d’accord avec moi », a-t-il déclaré à CARRÉ. Ayant passé de nombreuses saisons à Naples, Kalidou Koulibaly a rejoint Chelsea cet été.
180 Millions d’euros lâchés sur cinq joueurs d’ici la fin du mercato?
À environ deux semaines de la fermeture du marché des transferts, Chelsea est encore sur plusieurs coup et n’hésitera pas à sortir le chéquier. Après avoir recruté Marc Cucurellla, Raheem Sterling ou encore Kalidou Koulibaly, Chelsea n’a pas fini de se renforcer. Alors que le marché des transferts ferme dans moins de deux semaines, les Blues seraient prêt à dépenser encore 180 millions d’euros sur 5 cibles prioritaires.
C’est en tout cas ce que révèle Matt Law de The Telegraph (relayé par Absolute Chelsea sur Twitter) qui explique que Pierre Emerick Aubameyang (Barça), Frenkie De Jong (Barça), Wesley Fofana (Leicester), Anthony Gordon (Everton) et Cesare Casadei (Inter Milan), sont tous les 5 des priorités de Chelsea qui sera prêt à casser sa tirelire pour les avoir.
…Les Blues ont fait une offre pour Aubameyang
Selon les informations de Gerard Romero, spécialiste du club catalan, les dirigeants du FC Barcelone auraient reçu une offre officielle de 27 millions d’euros pour son attaquant Pierre-Emerick Aubameyang (33 ans, auteur de 20 buts et 3 passes décisives TTC avec le Barça la saison passée) de la part de Chelsea. L’entraineur du club londonien Thomas Tuchel apprécie le profil du Gabonais, qu’il a déjà entrainé au Borussia Dortmund. Il pourrait ainsi être le remplaçant idéal de Timo Werner qui est retourné à Leipzig cet été.
La Coupe du monde 2022 se profile. Abdou Diallo, international sénégalais, croit en un beau tournoi de son équipe. Le défenseur veut se débarrasser des complexes. Les Lions de la Teranga sont dans le groupe A avec le Qatar, pays organisateur, les Pays-Bas et l’Equateur.
Pour Abdou Diallo, l’aventure avec l’équipe nationale du Sénégal a débuté de façon idyllique. Le défenseur, pour sa première compétition avec les Lions de la Teranga, a remporté la CAN 2021 en février dernier au Cameroun. La première étoile de l’histoire du Sénégal. il aura d’ailleurs l’occasion de disputer un second tournoi à partir du 20 novembre prochain : la Coupe du monde 2022. Et pour ce Mondial, le joueur formé à Monaco se veut confiant. Pour lui, son équipe ne doit avoir peur de personne.
«Même si nous ne pouvons pas voir l’avenir, vous devez être convaincu que vous pouvez certainement y parvenir. Nous avons également eu un plafond de verre lors de la finale de la Coupe des Nations et nous l’avons brisé, donc mon rêve est d’en briser un autre. Si nous y parvenons, je serai le plus heureux. Il n’y a pas de complexes. Si nous n’y parvenons pas, nous n’y parviendrons pas, mais vous devez accepter cette pression car cela signifie que nous faisons du bon travail », a d’abord lancé Abdou Diallo à BBC Sport Africa.
Sur les traces de la génération de 2022
Le défenseur de 26 ans veut lui aussi écrire l’histoire du Sénégal et de l’Afrique. Comme l’a fait le Sénégal en 2022. Pour leur première Coupe du monde, les Sénégalais avaient atteint les quarts de finale. Abdou Diallo se remémore les souvenirs de cette époque. En espérant par ailleurs en faire autant, voire plus.
« Je reçois des flashs de mon père me soulevant dans les airs, je me souviens que les voisins se plaignaient du bruit (…). Cette génération nous a vraiment inspirés et 20 ans plus tard, nous avons de nouveau participé à la finale de la Coupe des nations, l’avons remportée cette fois et avions nos frères aînés avec nous, célébrant comme s’ils l’avaient eux-mêmes gagné. C’était génial. Maintenant, c’est à nous (à la Coupe du monde). Nous devons écrire l’histoire de ce pays et nous verrons où cela nous mènera », ajoute Abdou Diallo.
Gerd Müller, Karl-Heinz Rummenigge, Uli Hoeness, Jürgen Klinsmann, Giovane Elber, Miroslav Klose, Luca Toni. Un petit septet, à la volée, qui illustre la fusion culturelle entre le Bayern Munich et le concept d’avant-centre. Des champions du monde, des Ballons d’or, des records à profusion – tels les 68 buts en 62 sélections du premier cité, le plus célèbre de tous les attaquants de l’histoire du football européen, propriétaire d’une marque inégalable de 365 buts dans le championnats allemand.
L’effacement du n°9, une petite révolution au Bayern
Carsten Jancker, sans doute le plus besogneux, sinon le plus caricatural – laissons cela à l’inoubliable Ruggerio Rizzitelli – , de la série, pur buteur, mi-molosse mi-maladroit, n’en aurait jamais cru ses oreilles si quelqu’un lui avait raconté, du temps de sa splendeur, que le géant de Bavière – pas lui, le club – débuterait une saison avec les plus grandes ambitions… sans avant-centre titulaire.
Le Bayern gagne sans impressionner ni trembler
C’est une révolution : regarder une feuille de match du Bayern en ce début de saison, c’est chercher en vain un n°9. Il y a bien un n°19 – l’arrière latéral canadien Alphonso Davies – et un n°39 – le petit prodige de Rennes Mathys Tel. Et c’est tout. La transition est brutale, après huit saisons d’un Robert Lewandowski incontournable à ce numéro. Et surtout, connaissant l’histoire du club aux six Ligues des champions.
Mané vers le Bayern : Comment le Sénégalais peut faire oublier Lewandowski
Le capitaine de la Pologne avait empilé 191 buts en Bundesliga avec le Bayern, s’assurant à six reprises le titre de meilleur buteur de la compétition. Avec ses 344 buts et 94 passes décisives en 375 matches au total, le néo-Barcelonais laisse forcément un vide. Très exactement 43 buts en moyenne par saison, qu’il faut donc, désormais, combler d’une autre manière, l’artiste Eric-Maxim Choupo-Moting n’étant pas exactement du même calibre.
Kimmich : « Notre jeu doit changer, c’est clair ! »
« Notre jeu doit changer, c’est clair ! », a asséné Joshua Kimmich alors que son équipe venait d’en passer cinq à Leipzig, en Supercoupe, le 30 juillet. Il faut « répartir la charge sur d’autres épaules », a-t-il ajouté. Un avis, voire un constat puisque les premiers matches l’ont prouvé, partagé à l’unanimité au Bayern, des joueurs au président – un ancien gardien de but de très haut rang – en passant par le directeur sportif et l’entraîneur, Julian Nagelsmann, qui ne cache pas son appétit, même s’il ne le formule pas ainsi, à jouer sans n°9.
« Nous aurons des solutions. Beaucoup de joueurs peuvent évoluer devant », a-t-il estimé. Les débuts lui ont donné raison de manière explosive, le Bayern ayant pulvérisé le champion d’Europe (en Ligue Europa), l’Eintracht Francfort, à l’occasion de la première journée de championnat.
Comment s’y est-il pris ? En 4-2-2-2, l’un de ses systèmes favoris. Mané et Gnabry devant, Müller (à droite) et Musiala (à gauche) en soutien, pour un 4-2-4 de fait, rappelant les plus grandes heures du football de figurines sur tapis de l’enfance de tout amateur de football qui se respecte. Voire pour un 2-4-4, Alphonso Davies à gauche et Benjamin Pavard à droite (à un degré moindre, peut-être) apportant régulièrement leur écot aux offensives bavaroises. L’avantage est pluriel : non seulement les joueurs ne cherchent plus le point de fixation habituel dans l’axe mais en outre, ils peuvent alterner jeu court et jeu long, Mané et Gnabry se prêtant à cette dernière option avec gourmandise.
Guardiola, influence relative
Faire remonter la genèse de cette révolution à l’apport de Josep Guardiola n’est pertinent que jusqu’à un certain point puisque le Catalan comptait l’avant-centre polonais dans son effectif. Il avait, cependant, fait valser Mario Mandzukic sans ménagement et même installé, à l’occasion, Arjen Robben en faux n°9. Avec l’ancien entraîneur du FC Barcelone, la patience était une vertu, chercher la faille l’ambition minutieuse. Avec son jeune successeur, les Bavarois font jouer leur technique en mouvement de façon plus chevaleresque. Mais Nagelsmann tient à temporiser : « Ce sera peut-être différent le jour où nous devrons centrer davantage dans un match », avance-t-il, évoquant ici des défenses plus recroquevillées que celles du RB ou de l’Eintracht.
Pourquoi le Bayern ne regrettera pas Haaland
L’ancien technicien d’Hoffenheim ne s’interdit de jouer ni à trois attaquants, ni à un seul. Ni de changer en cours de match. La filière Müller en soutien-Lewandowski en finisseur à vécu, tant Mané et Gnabry peuvent intervertir leur rôle indéfiniment, d’une part, et tant le milieu de terrain va faire office de laboratoire de mobilité, d’autre part. Leon Goretzka et Joshua Kimmich en sont les prototypes, loin des Jens Jeremies ou Xabi Alonso d’antan, les joueurs d’aile aussi, tel Leroy Sané ou Jamal Musiala, à l’aise aussi bien dans les mouvements axiaux que transversaux. Même chose avec une défense à trois, avec au choix un ou deux milieux défensifs axiaux. Les options sont infinies… à chaque action.
Un bref coup d’oeil dans le rétroviseur suffit à mesurer la révolution : à l’occasion des deux derniers titres continentaux du club en 2013 et en 2020, le 4-2-3-1 avec l’attaquant de pointe classique était immuable. Dans le 3-4-3 ou le 4-3-3 qui ont pu suivre, même chose. « Il n’y a pas beaucoup d’attaquants qui peuvent inscrire 40 buts par saison », rappelle Nagelsmann pour justifier la plasticité du Bayern version 2022-2023. Mais dans ce club, une fois encore, ce vide est inédit.
Il fut même certaines saisons où le poste d’avant-centre était pourvu de deux pointures internationales, tels Roy Makaay et Claudio Pizzaro – le second laissant obligeamment la place au premier en reculant d’un cran – à partir de 2003 et pour quatre saisons, tels aussi Miroslav Klose et Luca Toni un peu plus tard, tels encore Mario Gomez, Mario Mandzukic et le même Pizarro après eux, en 2012-2013, l’année du triplé Coupe-championnat-Ligue des champions. Avec ses deux ou trois petits buts en vingt matches, le Ballon d’or 1991 Jean-Pierre Papin se démarque négativement, certes, mais c’était bien, lui aussi, un avant-centre de très haut niveau.
Hoeness : « Qui va marquer 25 buts ? »
« Je suis un avocat du n°9 à tout prix », estime Dieter Hoeness, autre altesse de la fonction, qu’il a exercée au Bayern au même moment que Rummenigge. « Pour que les choses tournent rond, il va falloir de la créativité », harangue-t-il. « Je suis très curieux de voir comment tout cela va se résoudre tactiquement. Qui va marquer 25 buts ? » On pourrait ajouter : qui va marquer de la tête ? Peut-être est-ce la raison pour laquelle, malgré tout, le Bayern conserve dans son effectif “Choupo” (1,91 m) et Zirkzee (1,93 m), revenu de prêt d’Anderlecht.
Mais il a surtout enrôlé Mané (1,74 m) et Tel (1,81 m). Et, contrairement à Hoeness, il saura se souvenir qu’en 1985, c’est Lothar Matthäus, avec ses 16 réalisations, qui avait terminé meilleur buteur de la maison. En 1987 aussi, avec 14. Et encore en 1988, avec 17. Ou mieux en 1995, Christian Ziege, avec 12. Ou encore Arjen Robben, en 2010, avec 16. Et surtout que, dans le passé récent, la charge des buts s’est parfois répartie entre plusieurs joueurs, comme sous Louis van Gaal. C’est précisément ce que souhaite cette saison le président Oliver Kahn, qui espère que, l’ombre de Lewandowski estompée, les autres joueurs offensifs tentent leur chance davantage, tel Kingsley Coman.
La tendance de 2022 n’est pas inéluctable pour autant. La cellule de recrutement a lorgné sur Hugo Ekitike, Cristiano Ronaldo et, surtout, envisage 2023-2024 avec un certain Harry Kane, l’avant-centre capitaine de l’Angleterre. Cependant, à l’échelle de la Bundesliga, la coïncidence est frappante : non seulement Lewandowski s’est enfui, mais Erling Haaland aussi. Soit les deux machines à buts des deux plus grands clubs allemands du moment. Comme le Bayern, Dortmund va devoir compter sur sa vitesse et la flexibilité de ses forces offensives. Et les autres ? Francfort dispose d’Alario mais l’Italien n’est pas titulaire. Fribourg de Petersen, homme de banc par excellence.
Hoffenheim de Dabbur mais, bien que de Nazareth lui aussi, l’Israélien n’est pas le messie. Wolfsbourg de Nmecha mais le champion d’Europe espoir tarde à s’imposer. Schalke de Terodde mais ce dernier empile les records surtout en 2e division. Il reste bien le Bayer, qui est parvenu à conserver Patrik Schick. Et le RB Leipzig qui, bien que réputé pour son goût pour l’expérimentation, empile à l’heure d’écrire ces lignes quatre attaquants de pointe : Sörloth, Silva, Poulsen et Werner. À moins que les n°9 soient déjà, de nouveau, l’avenir en Bundesliga ?
C’est un début poussif pour Liverpool en Premier League cette saison. Le promu Fulham a accroché les Reds lors de la première journée et ce lundi à Anfield, Liverpool a également connu un revers. Face à Crystal Palace, les hommes de Jurgen Klopp privés de certains cadres n’ont fait mieux qu’un nul 1-1. C’est même les poulains de Patrick Vieira qui ont ouvert le score grâce à l’inévitable Wilfried Zaha.
C’est après l’heure de jeu que Luis Diaz a permis aux siens de recoller au score, 1-1, ceci après l’expulsion de Nunez, le buteur Uruguayen arrivé pour remplacer Sadio Mané. Après ce deuxième nul, Liverpool se voit déjà distancer de 4 points par Manchester City de Pep Guardiola. Et très vite, les fans de foot hallucinent sur les réseaux sociaux. Pour eux, c’est absolument inquiétant de voir Liverp
ool galérer offensivement après le départ d’un seul joueur : Sadio Mané.
Le soit disant remplaçant de Sadio Mané qui prend un carton rouge en pleine match, ptdr je me souviens même pas la dernière fois où sadio a pris un rouge, un fraude qui coût 100M 🤣🤣🤣 pic.twitter.com/zBOAOpiURP
« Balla Gaye 2 et Gris Bordeaux ont livré un beau combat. Ils n’ont pas été ridicules et les amateurs étaient contents », commence par dire l’Extraterrestre. Mais « finalement, Dieu a donné la victoire à Balla Gaye 2. Gris a fait tout ce qu’il devait faire. Il a dirigé le combat pendant une bonne période. Mais, à un moment, il ne maitrisait plus les débats. Alors, il a laissé l’initiative à Balla », constate-t-il.
Le 3e Tigre de Fass a-t-il donc manqué de lecture de combat un moment ? C’est ce que semble dire le prochain adversaire de Sa Thiès. « S’il avait continué le combat comme il l’avait entamé dans les 2 ou 3 premières minutes, il aurait eu quelque chose. »
Le Lion de Guédiawaye a alors déroulé sa stratégie, selon notre analyste du jour. En effet, « sentant que cette façon de faire ne l’arrangeait pas, Balla a changé le cours du jeu. C’est comme cela qu’il a piégé Gris. Mais, encore une fois, c’était un bon combat ».
« À un moment, Balla a usé de la lutte gréco-romaine. Il fallait nécessairement qu’il mette un genou à terre pour se saisir de la jambe de Gris. Et là, Gris s’est fait battre lui-même. Il a fait une rotation de plus. Balla Gaye n’a fait que suivre l’action. C’est la preuve qu’il est un bon lutteur. Gris a été victime de son poids. Et la chute a semblé très facile », démontre le fils de Thiaroye.
Coéquipier du lutteur Elton, Mbeuss de l’école de lutte Balla Gaye a lâché une bombe. Ce dernier informe qu’Elton a arrêté sa carrière d’agneau.
Rencontré à Pikine, il s’est exprimé sur le battle Grey Bordeaux / Balla Gaye 2, remporté the same level Son leader. Concernant l’actualité du Guédiawaye Bulldozer, il informe qu’Elton, qui est aux U.S.A., a arrêté sa carrière de lutteur. Une très grosse perte Pour l’école de lutte Balla Gaye 2, qui a perdu l’un de ses ténors.
L’Afrique a connu des meilleurs gardiens de but au fil des ans. Thomas Nkono, Bruce David Grobbelaar, Badou Zaki, Joseph Atntoine Bell ou encore Essam El-Hadary, Alioum Boukar, tous ont rendu fiers les africains grâce à leurs parades dans les cages.
Dans une interview accordée à Carré, média spécialisé en Interview, le gardien Sénégalais de Chelsea a dressé la liste des meilleurs portiers africains de tous les temps. Curieusement, Edouard Mendy a oublié plusieurs grands gardiens que le continent ait connus. Pour le champion d’Afrique, Thomas Nkono (Cameroun), Tony Sylva (Sénégal), Carlos Kameni (Cameroun) et Vincent Enyeama (Nigeria) sont les quatre meilleurs gardiens africains de l’histoire.
«Le plus grand gardien africain de tous les temps ? Je pense qu’en Afrique, nous avons la chance d’avoir eu beaucoup de gardiens qui ont marqué leur période. Des gardiens bien sûr comme Thomas N’Kono, mais plus récemment, on a eu, Tony Sylva qui est vraiment une légende pour le football sénégalais. On a eu Carlos Kameni. On a eu également Vincent Enyeama. Dans plusieurs pays, on a eu la chance d’avoir beaucoup de très bons gardiens. Donc c’est vraiment dur d’en citer qu’un. », A-t-il déclaré à Carré.
Joseph Atntoine Bell en rigole…
L’illustre gardien des Lions Indomptables, autrefois de l’OM ou encore de Saint-Étienne, a été sollicité pour trancher sur le plus grand de tous les temps. Joseph Antoine Bell n’est pas passé par quatre chemins quand la question lui a été posée. Pour la légende Camerounaise, c’est lui, le meilleur gardien africain de tous les temps. Et il l’a dit lors d’une interview à Dream Team Sports, un groupe WhatSapp au Bénin.
«Le plus gardien africain de tous les temps ? Ce sont les autres qui le désignent et il se trouve que j’ai reçu le trophée de meilleur gardien de but du siècle. Et on vient d’en démarrer un nouveau (siècle ndlr) … donc sauf si vous me demander pour celui-là…», A-t-il confié lors d’un échange sur le groupe Dream Team Sports du Bénin.
Comme annoncé hier par Taggat, Fabrice Hawkins et le journal L’Equipe, Idrissa Gana Guéye est tombé d’accord avec Everton pour son transfert. Il ne reste plus qu’aux deux équipes de s’entendre sur un montant pour le transfert du joueur.
Alors que le départ du Sénégalais se profile, plusieurs fans du PSG ont jubilé sur les réseaux sociaux. Visiblement, à Paris et en France en générale, on en veut encore à l’international sénégalais pour son refus de soutenir la cause LGBT en fin de saison dernière.
En effet, sur les commentaires, plusieurs font réfénrence à cette affaire qui avait défrayer la chronique. Ce qui pourrait confirmer les dires du journaliste sénégalais El Amine Diop, qui déclarait hier que la mise à l’écart du Sénégalais avait d’autre motifs que celui purement sportif.
Mané a marqué deux buts lors de ses trois premiers matchs de compétition avec les champions de Bundesliga, ce qui a impressionné son coéquipier, Alphonso Davies.
Les exploits de Sadio Mané au Bayern Munich ne passent pas inaperçus auprès de ses coéquipiers après un début de saison explosif de l’attaquant sénégalais. Le but de Mané a été déterminant pour aider le Bayern Munich à remporter la Super Coupe et l’ancien attaquant de Liverpool a également marqué lors du premier match de Bundesliga pour les champions allemands.
Selon Bundesliga, le coéquipier de Mané, Alphonso Davies, a salué l’impact de l’attaquant de 30 ans au club, le décrivant comme un joueur de haut niveau.
« Sadio Mané, vous voyez ce gars, c’est un joueur de haut niveau. Il est travailleur, il est rapide, nous essayons de lui transmettre le ballon le plus possible parce que c’est un gars très rapide. Donc, oui, c’est un bon joueur, nous sommes heureux de l’avoir ici ».
Alphonso Davies a également révélé qu’il aime jouer avec Mané qui, selon lui, peut parfois être trop humble pour sa stature de footballeur de haut niveau.