Tout ne cloche pas rond au sein des attaquants de la tanière des lions. Après les deux premières journées de championnat, deux milieux de terrain ont réussi à trouver la faille.
En effet, Pape Mactar Sarr a guidé Tottenham dans la voie du succès contre Manchester United du meilleur gardien du monde Onana en inscrivant son premier but d’une superbe frappe.
De l’autre côté, en Espagne, Pathé Ciss a également consolidé la victoire de son équipe face à Grenade d’une superbe frappe à l’entrée de la surface.
On ne peut pas comprendre qu’au même moment Illimane Ndiaye, après avoir éliminé deux joueurs du Panathinaikos, alors qu’il lui restait juste à placer le ballon pour faire trembler les filets puisse faire la passe au ramasseur de balle.
Ismaila Sarr aussi a plus d’une fois fait seul face au gardien à l’intérieur de la surface pour dégager le ballon en touche.
Pareil pour Nicolas Jakson, qui malgré son excellente présaison, n’arrive plus à voir ses tirs être cadrés.
Pape Mactar Sarr et Pathé Ciss ont marqué des occasions beaucoup plus difficiles que ceux ratés par Illiman Ndiaye, Ismaila Sarr et Nicolas Jakson.
D’où l’inquiétude qui animent les supporters de l’équipe nationale à savoir s’il n’y a pas une main invisible qui les empêche de marquer leur premier but.
Dans la savane, il y aurait certainement un vieux lion qui, jaloux de sa renommée, ne voudrait pas qu’on parle de ses jeunes plus que lui. Le succès de ces jeunes lui ferait de l’ombre et son autorité serait dorénavant contestée par les observateurs.
Les parents (Iliman Ndiaye, Ismaila Sarr et Jackson) de ces jeunes devraient se lever pour les protéger sinon ils finiront comme Bamba Dieng à Lorient.
Je n’accuse personne, je n’indexe personne. Il n’est pas interdit de prodiguer des conseils à ces jeunes innocents pour leur demander de se prémunir contre les forces du mal qui se sont jetés sur eux.
En Afrique, ceux qui sont en général supposés être plus proches, sont en général les pires ennemis. On l’a vu avec Sankara et Blaise Comparé.