La Coupe du monde des nations n’est pas la Coupe d’Afrique des nations. Ce rendez-vous, qui se tient tous les 4 ans, réunit les grandes nations de football, les grandes stars du ballon rond, complétif dans les leurs clubs respectifs. Et pour ce tournoi de Qatar force est de reconnaître qu’on n’avait pas les meilleurs hommes, avec l’état physique qu’il fallait pour réaliser l’exploit.
Au niveau de notre défense, en commençant bien évidemment par notre gardien de but, n’étaient pas au top en club avant de venir au Qatar. Mendy qui était relégué sur le banc a joué juste quelques matchs avant de venir. Au niveau de notre axe Kalidou Koulibaly et Abdou Diallo, n’ont pas montré une parfaite entente encore moins de solidité. Sur les côtés de notre même si on a eu un peu de satisfactions venant de Sabaly et Jacobs, ces derniers ne jouaient pas à temps. Le joueur de Bétis souvent freiné par les blessures au moment où le pensionnaire de Monaco ciré presque à chaque le banc.
Dans l’entrejeu, on a senti l’absence de Gana et Kouyaté. Nampalys, Pape Matar Sarr qui n’a jamais joué la moindre minute en club, Pape qui sur les jambes…ne pouvaient pas apporter la solution. Au sein de l’attaque, pareille ! On voulait gagner avec Bamba Dieng Famara…qui manquent d’automatisme, car leur situation en club n’est pas l’une des meilleures. On nous dira que ces deux ont marqué de buts, dans ce tournoi, mais en termes d’explosivité, de créativité, de possibilités, ils n’ont pas été d’un grand apport…
A ceux-là s’ajoutent ces joueurs venus au Qatar sachant qu’ils n’allaient jouer la moindre minute. Moustapha Nam, Loum Ndiaye, Alfred…laissant à la maison d’autres plus performants. On peut citer Pape Alioune Ndiaye, Saivet, Habib Diallo…
Cependant, l’heure n’est pas à la révolution, mais c’est le moment de bien redistribuer les cartes, faire les bons choix, pour les prochaines échéances