Maraboutage dans la tanière: Iliman Ndiaye sur les pas de Diao Baldé Keita?

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L’histoire entre Kilian Mbappé et Paul Pogba a démontré que dans certaines équipes nationales, il y a des nombrilistes qui, croyant que le monde tourne autour d’eux, ne veulent point émerger d’autres stars.

Pour être toujours l’étoile polaire de l’équipe, ils sont prêts à tout quite à jeter un mauvais sort à des coéquipiers dont le seul tort est d’être brillant et adulé par les supporters.

Illiman Ndiaye, après son mondial réussi et ses prestations de haute volée à Shieffield, est entré dans l’œil du cyclone de ces égoïstes qui, étant des produits finis car rattrapé par le poids de l’âge, semblent vouloir sa peau au même titre qu’ils l’ont réussi avec Diao Baldé Keita dont la carrière semble être brisée.

Les parents, proches et amis de la starboy qui liront ce post se doivent de le protéger contre ces adeptes de la fétiche. Il en est de même pour Ismaila Sarr et Nicolas Jackson car dans la tanière il y a de ces vieux qui ne supportent guère la montée en puissance de ces jeunes.

Ils oublient que lorsqu’ils faisaient la pluie et le beau temps, tous étaient unis derrière eux. Maintenant qu’ils ont leur carrière derrière eux, les voilà qui, par des pratiques peu orthodoxes, tentent de freiner leurs cadets.

Le double ballon d’or sans forcer dont Illiman Ndiaye semble être le poulain doit aussi l’éveiller dans ce sens car en équipe nationale il y en a de ces personnes qui sont prêtes à tout pour le succès et la gloire.

Ce qui est valable pour Iliman, l’est également pour Ismaila Sarr et Nicolas Jackson.

Andy Diouf, Habib Diarra et Lamine Camara, qui seront certainement appelés au mois de septembre, devront aussi se blinder mystiquement car les cadres presque quarantenaires qui sont au milieu refusent de prendre leur internationale.

Certes, il ne faut pas mettre dans l’esprit de ces jeunes ces histoires de marabout au risque de les voir sombrer dans un cercle vicieux teinté de chantage mais l’Afrique a ses réalités.

D’où l’importance pour les parents de ces jeunes de les protéger contre la méchanceté gratuite de certains de leurs coéquipiers en équipe nationale.

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